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ART NUMÉRIQUE ou ART DIGITAL
le terme est devenu familier : art numérique ou art digital vient de l’américain ’digital art’, le digit étant l’unité informatique minimale, comme le pixel l’est à l’image numérique ; l’ancêtre physique du pixel est le point, qu’on trouve aussi bien chez Signac que Lichtenstein. L’art numérique comprend tout ce qui peut générer informatiquement une image animée ou fixe : photo, vidéo, objets et constructions artificielles, êtres virtuels, dessin animé ou projections contrôlées par ordinateur, mixages informatiques... que les oeuvres soient génératives ou interactives avec le spectateur. Par extension on y met aussi les images figées imprimées issues de créations numériques, les photos numériques retouchées ou non, les impressions 3D (en 3 dimensions) qui sont des sculptures faites par une machine à commande numérique à micro-jets de matière. L'art numérique désigne un ensemble varié de catégories de création utilisant les spécificités du langage numérique. Il s'est développé comme genre artistique depuis le début des années 1960. Portée par la puissance de calcul de l'ordinateur et le développement d'interfaces électroniques autorisant une interaction entre le sujet humain, le programme et le résultat de cette rencontre, la création numérique s'est considérablement développée en déclinant des catégories artistiques déjà bien identifiées. En effet, des sous-catégories spécifiques telles que la « réalité virtuelle », la « réalité augmentée », « l’art audiovisuel », « l’art génératif », ou encore « l’art interactif » viennent compléter les désignations techniques du Net-art, de la photographie numérique ou de l'art robotique. Soulignant la nécessité de construire un dialogue entre les médias traditionnels (peinture, sculpture, dessin) et les nouveaux médias, qui se sont tournés le dos abusivement, Hervé Fischer a proposé d'explorer ce que pourraient être les « beaux-arts numériques » Par définition l’image numérique (apparue vers les années 50) est le produit d’un traitement informatique . Par l’intermédiaire d’un scanner, un dessin "fait à la main" est reconstitué au moyen de pixels ( point par point, rectangulaire ou carré) , autrement l’image peut être construite par des calculs à partir de modèles mathématiques ( image de synthèse). Aujourd’hui l’image numérique est utilisée pour l’observation de l’invisible ( ex : imagerie médicale) et la simulation ( ex: aéronautique)..La réflexion sur les images numériques amène à poser des questions d’éthique ( limites de la virtualité), d’esthétique ( devenir de la représentation), de politique ( manipulations). L’art numérique est une esthétique de la surface ,de l'immatériel ( de la dématérialisation) et de l’apparition , celle de l'image luminescente provoquée de façon interactive par le regardeur ( l’utilisateur de l’ordinateur) dans un monde où l'échelle de l'espace et du temps est modifiée, un univers réduit et immédiat . L’artiste numérique dépend des performances d’un matériel sophistiqué dont il n’est pas généralement le concepteur , évoluant dans un espace d’expression et de technique contraint (le logiciel par ex.) avec comme conséquence le risque de l'obsolescence formelle. Avec l'art numérique on observe un effacement de la barrière art savant ( exposition dans un lieu consacré comme le musée) et art populaire ( comme le micro ordinateur dans un lieu domestique) , high art/ low art, l'oeuvre numérique est nomade , souvent anonyme (du moins une perte de statut d'auteur) et éphémère proposant comme principe de représentation le simulacre ludique dans un réseau d'exposition ( qui est partout et nulle part ) saturé d'images.MONDRIAN
Atteindre l'harmonie par l'équilibre
des relations entre les lignes,
les couleurs et les formes
MONDRIAN
HENRI MATISSE
"la couleur contribue
à exprimer la lumière"
HENRI MATISSE
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Une nouvelle liberté de création
ARIATHUS peint des conceptions, des synthèses, des abstractions, les accords entre l'art et la science, une recherche sur la lumière et ses caractéristiques,
les couleurs et leur saturation. Une variation de tout selon la dynamique des formes géométriques, il essaie de créer le geste artisanal de l'anamorphose. Il improvise la couleur, la fait respirer et vibrer, le plaisir de l'invention, l'amour du risque, l'appel de l'inconnu où il recherche des espaces imaginatiques du cosmos. Son oeil est solaire avec sa recherche de la lumière, et ici nous rejoignons le poète qu'il est.
La peinture est-elle une analyse chromatique pure indépendamment
de tout motif figuré ?
Nous ne le croyons pas. C'est un ordre lumineux des formes et le désordre obscur
des formes dans une effusion chromatique pure, un expressionnisme abstrait dans
un espace saturé de lumière, reflet et réfraction. C'est un diorama d'une pensée
et d'une création dans une spécificité des matériaux et de la subjectivité de l'artiste.
La peinture est une fiction théorique, l'image de l'écrit dans la couleur et l'oeil
du peintre est souvent offensif. La violence des oeuvres ainsi exposées interpellent
le public, ainsi que la variation des tons avec une dynamique débridée du trait violé et de l'espace dans lequel ces oeuvres évoluent.
Aventure picturale contemporaine dans l'atmosphère étrange des dérives de la couleur, peinture de l'effusion coloriale et du chaos des lignes atomisées dans une nouvelle liberté de création.
JAMES DES ISLATTES
critique d'Art
(texte déposé, protégé)
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MES EXPOSITIONS*1*
mes oeuvres sont présentées pour l'ensemble
en cadres 40 x 50 et 30 x 40
Quelques expositions parmi d'autres :
Exposition numérique sur écran plasma 107 mm
SALON d'AUTOMNE, PARIS-XVIe
Porte d'Auteuil, 2003
Exposition numérique sur écran 7 m2
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Exposition
Galerie d'Art
Espace Mompezat
Quartier Latin
PARIS-VIe
2003
Rencontres artistiques
Atelier de la Ferme de la Doutre (77)
2005
et quelques autres expositions dont :
château de Ferrières
château de La Fresnaye
galerie Myrha Paris
Barbizon
et de nombreuses expositions
régionales collectives
Salon d'Automne 2007 Roissy-en-Brie
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ARIATHUS
ou le rêve d’un mythe infographique.
ARIATHUS par ses rêve fragmentés et kaléidoscopique nous offre un ensemble de réalisations virtuelles, de compositions informelles, d’œuvres dites numériques. Nous sommes ici confrontés à une nouvelle conception de l’art qui se rattache directement aux techniques informatiques rejoint une vision proche de l’universel pouvant évoluer du microcosme au macrocosme.
Cette facette de l’art est une fabuleuse ouverture où tout devient possible dans l’espace de création, où tout est permis dans la composition des fréquences de l’imaginaire sous assistance technologiques permettant de caresser l’infini du bout des doigts.
Nous nous trouvons dans une situation proche de l’antimatière, tout repose ici sur des combinaisons informatiques liées aux possibilités de divers logiciels spécialisés qui ouvrent des champs abyssaux à partir de mixages de données numériques.
Art virtuel, fractionné, éphémère, artificiel tout autant qu’évanescent, ce nouvel outil de communication est une ouverture sur le monde où toutes les frontières sont abolies, grâce à l’implantation dans le monde entier de galeries virtuelles où chacun peut présenter ses travaux de recherches.
Cependant le point particulier chez Hélianthe, réside dans le fait non anodin qu’il est initialement poète, ce qui lui confère dans ses investigations créatives une note sensible différente, une touche émotionnelle plus vibrante.
C’est art majeur au niveau des échanges et des rapprochements humains en termes planétaires, sorte de métissage culturel universel par principe virtuel. Donc très vulnérable également.
Ce moyen créateur informatique offre au moins cet avantage de pouvoir survoler toutes les frontières, de pouvoir graviter vers l’infini, de pouvoir aussi tout simplement de faire rêver aux couleurs de l’intangible, aux rythmes d’une poésie visuelle déstructurée et d’avancer sur le fil imaginaire de l’onirisme qui peut nous conduire : « …jusqu’au délire laiteux des étoiles… » Par ce chaos fractal, nous évoluons ici au cœur même de la dématérialisation.
Nous avons tous dans nos paniers de souvenirs d’enfance, l’image même d’un œil ébloui rivé aux rêves multicolores et fragmentés de la magie d’un kaléidoscope.
C’est le rêve de l’enfance qui érige et retient la mémoire des hommes.
Et n’oublions pas que le rêve est peut-être l’ultime voie d’espérance qui nous soit encore offerte.
Alors laissons nous porter l’instant d’un clin d’œil dans ce rêve « fractalisé » et sublimé, beau comme l’irisation d’un vitrail au soleil couchant.
Michel Bénard.
lauréat de l'Académie française
chevalier des Arts et Lettres
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AUX PORTES
DU CHAOS FRACTAL
ARIATHUS nous offre un ensemble d'oeuvres virtuelles, d'oeuvres informelles, d'oeuvres dites numériques. Cette nouvelle conception de l'art se rattache directement aux techniques informatiques rejoint une vision proche de l'universel pouvant évoluer du microcosme au macrocosme. Cette facette de l'art est une nouvelle ouverture où tout devient possible, où tout est permis sur les fréquences de l'imaginaire sous assistance technologique permettant de caresser l'infini du bout des doigts.
Nous nous trouvons confronté à l'anti-matière, tout repose ici sur des combinaisons informatiques à partir de divers logiciels spécialisés qui ouvrent des plans sur l'infini
à partir d'un mixage de données numériques.
Art virtuel, fractionné, artificiel et parfois mouvant, ce nouveau moyen de communication est une ouverture sur le monde où toutes les frontières sont abolies grâce à l'implantation dans le monde entier de galeries virtuelles
ou chacun peut exposer ses oeuvres. Cependant l'intérêt chez ARIATHUS
réside dans le fait qu'il est initialement poète, ce qui lui donne dans ses investigations créatives une sensibilité différente, une touche émotionnelle plus vibrante. C'est un art majeur au niveau des échanges et des rapprochements humains
en termes planétaires, sorte de métissage culturel universel par pricipe virtuel.
Ce moyen informatique offre au moins cet avantage de pouvoir survoler toutes
les frontières, de pouvoir graviter vers l'infini, de pouvoir également, tout simplement rêver aux couleurs de l'éphémère, aux rythmes de la poésie destructurée et d'avancer sur un fil imaginaire qui peut nous conduire : "jusqu'au délire laiteux des étoiles...", par ce chaos fractal, nous évoluons ici au coeur même de la dématérialisation.MICHEL BENARD
artiste, critique, poète, lauréat de l'Académie française
(texte protégé, déposé)
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QUELQUES FRACTALES
parmi beaucoup d'autres :
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